dimanche 4 avril 2010

Grossesse Multiple



Mariée depuis 3 ans maintenant, ils ont essayés d'avoir des enfants pendant environ 2 ans et demi, sans aucune chance. Jenny est enfin tombée enceinte à deux reprises, mais, malheureusement, a eu deux fausses couches. C'est alors que Jenny et Bryan ont décidés de procéder à d'insémination artificielle. Et c'est là que Dieu a décidé de faire six bébés. SIX BÉBÉS!!!! Non mais t'sé!!! SIX!!! 3 petits garçons et 3 petites filles!!SIX!!!



Source : Voici l'histoire de Bryan&Jenny

V;-)

Non-assistance à mère en danger


Plus de 500 000 femmes meurent chaque année au cours d'une grossesse, d'un accouchement ou dans les jours qui le suivent. A quelques mois du sommet de revue des objectifs du Millénaire pour le développement, Oxfam France et trois associations appellent à se mobiliser pour obtenir de vrais engagements dans le domaine de la santé maternelle et infantile.

Signer
En septembre 2010, l'ensemble des chefs d'Etat et de gouvernement se réuniront à New York pour évaluer les progrès accomplis dans la réalisation des objectifs du Millénaire pour le développement (OMD). Parmi ces huit objectifs, deux accusent un retard criant : l'amélioration de la santé maternelle et infantile.

Pour remédier à cette situation, il faut agir : exigeons plus de moyens pour la santé, plus de personnel qualifié et soutenons les pays qui défendent la gratuité des soins.

Les objectifs de réduire des trois quarts le taux de mortalité maternelle en 2015 par rapport à 1990 et de rendre l’accès à la médecine procréative universel dans le même temps sont réalisables. Mais ils nécessitent une volonté politique de la part des gouvernements des pays du Sud et du Nord.

La France peut et doit jouer un rôle moteur dans ce domaine. Oxfam France, en partenariat avec Médecins du monde, Action for global health et Avocats pour la santé dans le monde, vous invite à faire pression sur les dirigeants français afin qu'ils s'engagent à :
  • consacrer 0,1% de la richesse nationale au financement de la santé dans les pays en développement, ce qui équivaut à doubler l'aide accordée à ce secteur en 2008 ;
  • soutenir, techniquement et financièrement les pays désireux d'introduire des politiques d'accès gratuit aux soins de santé de base, en particulier pour les femmes et les enfants ;
  • affecter au renforcement des ressources humaines au moins 25% de l'aide française allouée au secteur de la santé.
Aidez-nous à faire pression dans ce sens sur le Président de la République et le ministre des Affaires étrangères français : interpellez-les et signez la pétition sur le site Santepourtoutes.org.

La santé maternelle en chiffres

Chaque minute, une femme meurt en raison de complications liées à la grossesse, soit 1 400 décès par jour et plus de 530 000 par an (source OMS, 2005)

99% des décès maternels répertoriés dans le monde surviennent dans les pays en développement, dont la moitié dans la seule Afrique sub-saharienne et un tiers en Asie du Sud.

Plusieurs pays ont vu leur taux de mortalité maternelle baisser de plus de 50% en quelques années, grâce à une politique volontariste. C’est le cas de l’Erythrée, de l’Ethiopie et du Mozambique, notamment.

D’autres pays ont au contraire régressé : la Sierra-Leone présentait en 2009 un taux de mortalité maternelle record avec 2 100 décès pour 100 000 naissances vivantes

Source : Oxfam France, Agir ensemble

V;-)

Un nouveau né hallucinant !!!

Incroyable mais vrai : Le 30 janvier 2007, une Mexicaine a donné naissance par césarienne à un garçon de 6,4 kilos et 55 cm !!! Le ( petit ) Antonio semble en bonne santé...
En tout cas respect à la maman qui a dû en chier...


Un nouveau né hallucinant !!!
envoyé par Pauleta_60. - Gag, sketch et parodie humouristique en video.

Source DailyMotion

V;-)

Accouchement hors-norme

En Roumanie, une jeune femme de 25 ans, pesant pas moins de 240 kg, a mis au monde un beau bébé de 2,9 kg. Cet accouchement était placé sous haute surveillance, du fait des risques encourus par la maman et le petit.

La naissance a eu lieu par césarienne. Faute d’une table d’accouchement capable de supporter le poids de la mère, l’opération s’est déroulée à des centaines de kilomètres du domicile de la jeune femme.

Pour l’heure, la maman et le nouveau-né se portent bien.


Source : Infobebe 04h24, Lun 22 Fév 2010


V;-)

Enceinte de triplés à 59ans

L'histoire est rarissime. Le cas, du jamais-vu en France, est peut-être même inédit dans le monde. Aujourd'hui à Paris, une femme de 59 ans attend des triplés. Suivie de près à la maternité de l'hôpital Cochin, elle pourrait accoucher dans les prochains jours. Au-delà de ces grossesses hors norme que l'on voit surgir partout dans le monde se profile un débat de société. De plus en plus de femmes veulent repousser les limites de la science et cherchent à avoir un enfant sur le tard. Elles ont plus de 40 ans, frôlent la cinquantaine, certaines ont même largement dépassé l'âge de la ménopause. Grâce à un don d'ovocytes de femmes beaucoup plus jeunes qu'elles, et après une fécondation in vitro (FIV), elles peuvent mener leur grossesse à terme. Non sans risques. A Angers (Maine-et-Loire), une maman de 46 ans, qui a accouché en juin de triplés, est dans un coma profond et laisse un père seul avec trois enfants. Comme d'autres elle avait essuyé des refus des médecins français lorsqu'elle avait présenté, à plus de 43 ans, son désir d'enfant. « Le Code de santé publique dit que toutes les techniques d'AMP (assistance médicale à la procréation) sont ouvertes aux femmes en âge de procréer, précise François Thepot, directeur médical de l'Agence de biomédecine. Mais comme l'âge limite est très variable d'une femme à l'autre, l'appréciation est laissée au corps médical. » Aucun remboursement après 43 ans « Après 40 ans, la probabilité d'avoir un bébé est de 3 % ; le taux de fausse couche est de 35 % », rappelle le professeur Olivennes. La Sécu ne rembourse d'ailleurs plus aucune AMP après 43 ans, car les résultats chutent dès 38 ans. Alors les Françaises qui veulent cet enfant à tout prix vont dans des cliniques privées à l'étranger. Il leur en coûte entre 3 000 € et 6 000 €. Quelle limite la science ne doit-elle pas dépasser ? Peu de médecins sont favorables à ces pratiques. Face à une société qui pousse à avoir des enfants tard, certains se demandent s'il ne faudrait pas accepter des patientes jusqu'à 44, 45 ans.

Source : Leparisien 04.09.2008

V;-)

La maternité de la femme aveugle ou malvoyante

La mise en place de cet accompagnement remonte aux années 1986, quand une puéricultrice de secteur nous a adressé en consultation, Anne une maman aveugle de naissance et son nourrisson. Comment allions-nous pouvoir aider cette jeune mère ? Serions-nous capable de lui donner des conseils adaptés ?
Naïvement certaines d'entre nous vont fermer les yeux pour tenter d'imaginer. Réaction légitime qui aujourd'hui nous fait sourire, le monde d'Anne n'est pas en noir et blanc, elle ne sait pas ce que ces deux couleurs représentent, elle ne les a jamais vues.

Nous avons donc rencontré des parents. Chaque couple va nous exposer sa propre histoire : désir d'enfant, vécu de la grossesse, naissance.
Certains récits sont poignants, en dehors de l'espace associatif, la solitude, l'incompréhension sont des réalités que ces parents vivent au quotidien.
Rien ne leur est épargné;
• Une jeune femme nous confie sa tristesse de voir associer sa cécité à une déficience intellectuelle. Certains aveugles se balancent tout comme les enfants autistes ou psychotiques, mais ces gestes automatisés appelés blindisme sont utilisés comme des repérages dans l'espace.
• Isabelle vit mal la méconnaissance qu'ont les voyants de ses besoins, mais surtout de ses joies : "On peut-être aveugle et heureux, notre handicap vous savez on l'a apprivoisé depuis longtemps ".
• Chaba très en colère, dit qu'elle ne supporte plus qu'en réponse à ses questions les vendeuses ou les hôtesses s'adressent aux personnes qui l'accompagnent. "Bon sang je ne suis pas sourde, elles peuvent me parler "!

Nous sortons de cette réunion avec le sentiment que cette population est loin de recevoir l'aide qu'elle est en droit d'attendre. Appréhendant un peu mieux les besoins spécifiques et les demandes de ces parents, nous décidons de nous réunir une fois par mois à l'Institut de Puériculture.
Nous abordons différents thèmes, comme par exemple :
Le développement psychomoteur de l'enfant, en notant l'importance du sourire adressé à l'enfant, du toucher, de la voix, de l'aménagement coloré de l'espace du regard dirigé vers l'enfant.
Comme le souligne si bien Maudi Piot dans ses travaux la perte de la vision n'implique pas la perte du regard. Le regard sans vision, renvoie des affects positifs ou négatifs.
Un aveugle est capable de "caresser" des yeux son enfant, tout comme il est capable de jeter un regard de travers à son chien guide qui ne reste pas en place.
Les mères soulignent bien cette notion de regard, lorsqu'elles disent comme Gisèle : "Ce que j'apprécie le plus à la PMI c'est qu'on me regarde" cette petite phrase montre bien tout le caractère affectif et relationnel du regard.


En créant ces rencontres nous pensions principalement répondre à des questions pratiques, en trouvant le juste dosage de l'aide qui serait ni trop peu ni excessif. Ne pas faire à la place des parents, mais chercher ensemble la solution la mieux adaptée aux attentes de chacun en utilisant tous les supports possible.

Il a fallu aussi micro analyser nos gestes pour mieux les décrire et les transmettre.
Des demandes différentes émergent, une aide est alors apportée dès le désir de procréation jusqu'à l'accouchement.

Une surveillante du service s'amuse de certaines anecdotes : "Il nous est arrivé d'avoir des situations inconcevables ailleurs. Imaginez dans la même chambre, et en même temps, les deux parents, le bébé... et deux labradors."
Les équipes des unités néonatales adopteront la même qualité de relation. Ici pas question de faire un signalement si par tâtonnement la tétine du biberon s'approche un peu trop de l'œil, pas question non plus de fustiger une mère qui touche avec ses doigts la tétine du biberon.

Petit à petit chacun trouve sa place dans le soutien à apporter aux mères.

Le lactarium reçoit très précocement les mères pour donner toute l'information nécessaire au choix d'allaiter ou de ne pas allaiter son enfant. L'argument : "Allaitez donc, ce sera plus facile pour vous !" n' est pas avancé dans notre discours.

L'anxiété anticipatoire de ces mères ne doit pas être vécue comme un état pathologique, mais plus comme une préparation physique et mentale au danger.
En recevant précocement ces futures mères, un pédopsychiatre les aident à mettre en mots toutes les inquiétudes issues d'un conflit en rapport avec le souhait "d'être une mère idéale", a gérer les affects pénibles évoqués par le souvenir d'une enfance dépendante, a résister au déversement des commentaires blessants, violents de la famille ou de l'entourage au sens large.
Ce soutien psycho-médico-social se poursuit bien évidemment après la naissance.
Par l'empathie qu'ils témoignent aux mères aux décours des consultations médicales, les médecins donnent aux mères toute la réassurance dont elles ont besoin.
Action renforcée par une puéricultrice du service qui anime avec le docteur un "groupe de paroles" qui joue un rôle essentiel dans la prévention du dysfonctionnement de la relation mère enfant.

Dans l'environnement de la maternité le handicap visuel suscite toujours en première intention une réaction émotive.
• Comment peut-on imaginer apprécier toutes les expériences humaines et particulièrement la maternité sans la vision ?
• En effet comment imaginer un monde qui ressemble à un vide sensoriel ? Comment imaginer qu'une mère ne puisse voir ou mal voir les premiers sourires de son enfant ?
Devenir mère lorsque l'on est handicapée visuelle, c'est s'exposer à un blâme social.
Au nom de l'eugénisme, des discours médicaux, des avis familiaux, feront renoncer certaines femmes à leur désir d'enfants même s'il est avéré qu'il n'y a aucun risque de transmission génétique du handicap.

Beaucoup de femmes aveugles ou handicapées visuelles ont le désir de vivre en couple et de créer une famille, droit reconnu par les Nations Unies mais rarement dans la vie quotidienne : devenir parent devient un combat.
Dans la majorité des cas dès qu'une femme aveugle annonce à ses proches qu'elle est enceinte, elle s'expose à des commentaires dévalorisants
"Comment vas-tu faire ? ".
"Tu n'y arriveras jamais."
"Et si tu transmettais ton handicap à ton enfant."
"Quand on est aveugle pourquoi se compliquer encore la vie avec un enfant ? ".
A la souffrance de ses femmes face à leur famille se surajoutent les maladresses de certains professionnels des services médicaux sociaux trop prompts à la suspicion qui déstabilise.
Najet enceinte de sept mois reçoit la visite de la puéricultrice. : "Quoi ? Vous n'avez pas encore préparé la layette ? "
Humiliée elle a l'impression d'être prise pour une débile, de ne pas être capable d'accueillir son enfant.
Comme elle le soulignera au médecin après la naissance " C'est dur elle ne me lâche pas, j'ai un double handicap je suis aveugle et parent isolé, tout ça me fait louper la petite enfance d'Angélique".

Il y aurait beaucoup à dire sur les professionnels.


Certaines collègues, animées du même état d'esprit que nous, se sont montrées disponibles à l'écoute, n'hésitant pas à assurer les accompagnements des mères lorsque cela s'avérait nécessaire, à préparer le retour à la maison dans de bonnes conditions.

Dans ce type de prise en charge particulière, il faut "naviguer" entre les "originaux" et les "sceptiques".
• Entre ceux qui surestiment les compétences des parents n'hésitant pas à affirmer qu'un aveugle est capable d'entendre les gouttes de vitamine D tomber dans le biberon.
• Ceux qui mettent en doute le savoir de parent : "Votre enfant a de la fièvre ? Comment le savez-vous ?".
• Ceux qui proposent une aide maladroite ou mal venue, sans tenir compte du désir du besoin des parents, imposant d'office la travailleuse familiale et la place en crèche.
Il est stupéfiant de voir si miraculeusement une place se libérer... Lorsque l'on est enfant d'aveugles est-il nécessaire dès son plus jeune âge d'être socialisé par la collectivité ! Non je ne le pense pas! Mais il est vrai qu'un tiers "voyant" c'est rassurant...

Une recherche américaine de 1981 appuyée sur l'observation de quatre familles, a montré que les relations entre les enfants et leurs parents étaient remarquablement peu affectées par le handicap parental.
De nombreuses caractéristiques d'interactions normales parent enfants, à la fois verbales et non verbales paraissent être facilement adaptables aux circonstances spéciales de la cécité.
L'aveugle ou le mal voyant développe des processus supplétifs plus ou moins délaissés par les personnes bien voyantes.
Les canaux tactiles, kinesthésiques, auditifs, olfactifs leur permettent une réelle qualité d'échanges avec leur enfant.

La gêne du soignant est telle face à ce handicap que même l'emploi des mots devient difficile.
On ose rarement utiliser le qualificatif "aveugle", on parle de non-voyant, de personne atteinte de cécité, de handicap visuel total.

La prise en charge de ces mères, nécessite la connaissance exacte de leur handicap pour adapter le mieux possible notre prise en charge.
Et les enfants ? me direz vous.
Ils savent s'adapter aux situations,
• Comprenant que la cuillère à parfois du mal à arriver dans leur bouche, c'est leur bouche qui va se diriger vers la cuillère.
• Pour faire voir un bébé sur le tapis d'éveil Victoire attrape tout simplement la main de sa maman et la pose sur le bébé en disant "regarde maman".

Loin d'être des "Thénardiers" les parents que nous connaissons refusent de considérer leur enfant comme une canne blanche ou comme un serviteur.
Face aux questions de l'enfant ils trouvent toujours la réponse qui rassure.
Ainsi Mélissa qui, vers quatre ans, demandait à Anne sa maman : "Tu pourrais arriver à me dessiner ? " Anne a souri et répliqué : " Non, tu es bien trop belle pour que j'y parvienne".
Dix ans après Mélissa est toujours sereine. "La plupart du temps, je ne me rends pas compte que mes parents sont aveugles. Ils font tout comme les autres. Je suis plutôt fière d'eux et je les mets en valeur auprès de mes amies".

Banaliser le handicap de ces mères n'est pas mon objectif parce que le déficit visuel comme le souligne Maudi Piot rend quotidiennement leur vie beaucoup plus compliquée que la notre, car le monde a été conçu pour des individus qui voient.
Mais malgré tout il me plait de les considérer comme des visionnaires, qui ont leur manière spécifique de regarder le monde et leur enfant et surtout d'enrichir ceux qui se donnent la peine de les regarder, de les écouter avec une attention toute particulière.

Pour conclure, je souhaiterai vous présenter le compagnon fidèle de ces mères et de ces enfants, le chien-guide.
Merci de l'accueillir dans vos salles d'attentes, même si parfois inquiet d'entendre crier " son " bébé au cours de l'examen clinique, il ose entrouvrir la porte de votre cabinet médical avec son museau.



Ecrit en janvier 2001 par Edith THOUEILLE, puericultrice, et fondatrice d'une sructure d'accueil pour les mamans aveugles ou
malvoyantes à Paris

Tiré de Les cahiers de la puéricultrice, décembre 2001 n° 151.


En Suisse, Blindlife propose un soutien et des informations NON MEDICALES à la future maman aveugle ou malvoyante.

Source : Site Projetdenaissance

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La vidéo d'une maman pleine de ressources !

Il nous arrive bien souvent de nous plaindre pour des petits riens, pour des minis embarras sans importance, des broutilles, mais là, cette femme, cette maman merveilleuse, nous donne un bel exemple de courage, de patience, d'amour et de tant d'autres choses encore qui force le respect et nous invite à relativiser sur nos petites épreuves de chaque jour...
Extrait de DailyMotion


Femme-sans-bras
envoyé par webpasteur.

V;-)

Etre handicapée et avoir un enfant : Le règne de la débrouille - Doctissimo

Etre handicapée et avoir un enfant : Le règne de la débrouille - Doctissimo

En surfant, je suis tombée sur ces pages du forum de Doctissimo, dont le sujet est être handicapée et avoir un enfant.

En lisant l'article, j'ai pu constater qu'aucune structure gynécologique n'est réellement capable d'accueillir des femmes enceintes en fauteuil roulant, tout autant sur les consultations obstétriques ou trop peu de gynéco disposent de tables pour ausculter ces femmes, que peu de maternité sont accessibles aux personnes en fauteuil roulant (donc peu de chambres aménagées pour ces femmes) et qu'en plus, le personnel médical des maternités ne connait pas les soins à réaliser sur ces femmes (sondage urinaire par exemple).

Selon les pathologies (par ex paraplégique ou plus), la péridurale est effectuée, quand ce n'est pas une césarienne et qu'il faut prêter une attention particulière aux risques d'escarres et d'infections urinaire.

On conseille donc aux futures mamans en fauteuil d'organiser leur grossesse. Déjà, en visitant la maternité ou elles aimeraient accoucher.

En chiffre (extrait de l'article)
De fait, une enquête entreprise en 2002 par la Mission handicap de l’Assistance publique de Paris a montré que sur 59 maternités d’Ile-de-France, une vingtaine seulement se déclaraient capables de suivre une femme handicapée dans le cadre d’une grossesse. Sur 1 757 cabinets de gynécologie dans la région, 156 étaient accessibles aux femmes en fauteuil roulant et 36 disposaient de table d’examen élévatrice...

Une nouvelle association pour les futures mamans handicapées : l’ADAPPH (Association pour le Développement de l’Accompagnement à la Parentalité des Personnes Handicapées) a pour principal objectif de développer l’accompagnement à la parentalité des personnes handicapées physiques et sensorielles. Je n'ai pas réussi à visiter leur site.

Mais j'en ai retenu (et c'est également écrit dans l'article) que ces femmes se sentent vraiment très seule et ressentent une forte culpabilité due à leur "différence". EN gros, elles ne devraient pas avoir d'enfant, selon certains professionnels de santé.

D'autant plus que bien souvent, ces femmes enceintes ont des grossesses tout à fait "normales" et des bébés exempts de pathologie

bibliographie
"Oser être mère. Maternité et handicap moteur" de Delphine Siegrist - Doin Editeurs & APHP.

Contacts
  • Groupe de parents handicapés (APF), Rennes : Christine Durand, 40 rue Danton, 37000 Rennes.

  • Association “Être parents”. 69, rue Baraban, 69003 Lyon. Tél. : 04 78 53 74 02,
    e-mail : etre-parent@handicapweb.com
  • Association pour le Développement de l’Accompagnement à la Parentalité des Personnes Handicapées, ADAPPH, C/o Handicap Info 38, 8 rue du Château, 38320 Eybens, site internet : www.adapph.org Tél. :04 76 22 86 89

V;-)

Dimanche 4 avril 2010

Lors d'une récente séance de bébés nageurs, j'ai pu discuter avec une maman avec qui j'avais suivi les cours de prépa à l'accouchement et qui était super bichonnée puisque son bébé s'immunisait contre elle (ouai ok, je suis pas dans le médical et j'ai oublié le terme exact). Du coup, je lui ai demandé si elle voulait bien qu'on ait un entretien ensemble afin qu'elle me témoigne de la grossesse de raphael (son 3ème enfant). Et non seulement elle a accepté, mais en plus elle m'a dit qu'elle avait eu 3 grossesses à risque !! Bingo, Merci Muriel (c'est la maman en question). Donc, je dois la recontacter pour qu'on utilise ses expériences pour notre travail de groupe. A ce jour j'en suis là avec cette maman.

A suivre

Bienvenue ! :: Doula - Accompagner la naissance autrement

Ceci n'est pas un blog comme les autres : c'est notre espace de travail à Jennifer, Perrine et moi.

Nous suivons la formation des Doulas De France à Bordeaux et nous avons un travail de fin d'année à réaliser en groupe.

Nous avons choisi pour thème "les grossesses à risque". Le support que nous avons choisi est donc le blog et nous espérons voir évoluer notre travail sous la forme d'un journal. Pour l'instant, nous n'avons pas vraiment élaborer un partage des tâches. Nous devons juste recueillir des infos chacune de notre côté.

Aujourd'hui, enfin ! J'ai réussi à trouver du temps pour la mise en place de notre outil.

Donc top départ les filles : maintenant faut y aller

V;-)